Le 10 septembre a marqué la reprise des négociations, notamment sur l’accord de télétravail et l’hybridation du travail.
Pour rappel, la CFDT portait la revendication phare du 3e jour de TT par semaine. Face à une direction fermement opposée à cette idée, la CFDT propose une solution innovante : une moyenne de 2,5 jours de télétravail par semaine. Concrètement, cela permettrait à un salarié à temps plein de télétravailler 2 jours une semaine et 3 jours la suivante.
Cette revendication forte de la CFDT offre un compromis entre 2 et 3 jours de télétravail.
La CFDT revendique également :
- Un accès au télétravail pour tous les temps partiels y compris à partir de 50%,
- La prise en compte des emplois non-télétravaillables, notamment pour pérenniser l’expérimentation DETI,
- Un forfait annuel pour les alternants,
- Plus de souplesse dans la pratique, tout en gardant à l’esprit le besoin de faire vivre le collectif de travail.
Lors de cette réunion, la direction a présenté un projet d’accord reprenant les formules existantes en proposant deux formules supplémentaires :
- une formule forfaitaire en expérimentation pour certaines directions limitée aux salariés en forfait jours,
- une formule “flexible” de 15 jours annuelle, sorte de fausse réponse à la revendication de la CFDT (demi-journée de tt en plus par semaine),
- La suppression des jours TTO sauf pour les salariés sans avenant télétravail.
Au cours de ces échanges, la direction a exprimé les difficultés de gestion liées à la multitude de formules existantes et a proposé d’étudier une formule forfaitaire unique pour tous, incluant une présence minimum de deux jours sur site par semaine. Deux autres formules seraient spécifiquement dédiées aux salariés de la DETI et aux alternants.
Il n’y a pas eu de vive opposition à cette idée ! La CFDT en prend acte et fera ses contre-propositions en séance du 24 septembre où sera également aborder le temps de travail et la valorisation des métiers de la relation clients.
A suivre…
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